« Mea Culpa » : différence entre les versions
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Combien de lecteurs prendront Unalala pour un vantard (il ne s'est jamais perdu dans aucun désert) et certains, plus futés, comprendront-ils que tous ses voyages aux cinq coins de la terre ne sont que métaphores de ceux qu'il a parcourus de manière infiniment plus troublante aux creux de Ses lombes ''(Gobi |
Combien de lecteurs prendront Unalala pour un vantard (il ne s'est jamais perdu dans aucun désert) et certains, plus futés, comprendront-ils que tous ses voyages aux cinq coins de la terre ne sont que métaphores de ceux qu'il a parcourus de manière infiniment plus troublante aux creux de Ses lombes et autour de Son nombril ''(Gobi pile et Kalahari face?)'', à la pointe de Son sein ''(Fuji-Yama et donc Kilimandjaro de part et d'autre des tropiques)'', entre Ses cuisses ''(courant jusqu'au golfe de San Juan dans la faille de San Andrea?)'', sous Sa toison ''(plus brésilienne que congolaise?)'' et plus loin encore ''(...)'' |
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Dernière version du 12 septembre 2010 à 13:19
Combien de lecteurs prendront Unalala pour un vantard (il ne s'est jamais perdu dans aucun désert) et certains, plus futés, comprendront-ils que tous ses voyages aux cinq coins de la terre ne sont que métaphores de ceux qu'il a parcourus de manière infiniment plus troublante aux creux de Ses lombes et autour de Son nombril (Gobi pile et Kalahari face?), à la pointe de Son sein (Fuji-Yama et donc Kilimandjaro de part et d'autre des tropiques), entre Ses cuisses (courant jusqu'au golfe de San Juan dans la faille de San Andrea?), sous Sa toison (plus brésilienne que congolaise?) et plus loin encore (...)