« ... pour mettre sous tension un lieu d'aisance bruxellois » : différence entre les versions

De Paul Gonze
Aller à la navigation Aller à la recherche
Contenu ajouté Contenu supprimé
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 7 : Ligne 7 :
'''- La chaise électrique''' est un instrument d'application de la peine capitale par électrocution utilisé aux États-Unis. Elle a été mise au point à la fin des années 1880 par un électricien et un dentiste comme alternative supposée moins cruelle et plus rapide que la pendaison. Depuis son invention, 4.441 personnes (dont 27 femmes et au moins 57 mineurs) ont été exécutées avec cette méthode. Aujourd’hui, elle n’est maintenue que comme alternative à l’injection létale au prisonnier le souhaitant.
'''- La chaise électrique''' est un instrument d'application de la peine capitale par électrocution utilisé aux États-Unis. Elle a été mise au point à la fin des années 1880 par un électricien et un dentiste comme alternative supposée moins cruelle et plus rapide que la pendaison. Depuis son invention, 4.441 personnes (dont 27 femmes et au moins 57 mineurs) ont été exécutées avec cette méthode. Aujourd’hui, elle n’est maintenue que comme alternative à l’injection létale au prisonnier le souhaitant.


'''- Commutateurs rotatifs''' réglant les durée et intensité de la décharge électro-esthétique envoyée, via la lunette du WC plaqué d’or supraconducteur, aux fesses de la personne qui s’y repose après avoir baisé son froc ou relevé sa robe. Le choc perçu peut se comparer à ceux donnés, sur ordre du psychologue Stanley Milgram en 1963, par certains "''instructeurs''" acceptant de soumettre à des tensions de 450 volts leurs "''élèves fautifs''", sauf qu’ici l’électro-esthétiseur.se et l’électro-esthétisé.e sont une seule et même personne. Et que la sensation serait révélatrice, en tant que négatif, de l’orgasme amoureux, du ravissement esthétique ou de l’extase mystique.
'''- Commutateurs rotatifs''' réglant les durée et intensité de la décharge électro-esthétique envoyée, via la lunette du WC plaqué d’or supraconducteur, aux fesses de la personne qui s’y repose après avoir baisé son froc ou relevé sa robe. Le choc perçu peut se comparer à ceux donnés, sur ordre du psychologue Stanley Milgram en 1963, par certains "''instructeurs''" acceptant de soumettre à des tensions de 450 volts leurs "''élèves fautifs''", sauf qu’ici l’électro-esthétiseur.se et l’électro-esthétisé.e sont une seule et même personne. Et que la sensation éprouvée serait révélatrice en tant que négatif de l’orgasme amoureux, du ravissement esthétique ou de l’extase mystique.


- '''Le Penseur''' est une sculpture en bronze coulée en 1880 et reproduite à d’innombrables exemplaires dans les tailles et matériaux les plus variées. Son auteur, Auguste Rodin, s’est inspiré du poète ou du philosophe de la Divine Comédie de Dante Alighieri contemplant la foule des damnés du haut de la porte de l’Enfer gravée de l'inscription « ''Abandonnez toute espérance, vous qui entrez ici'' ».
- '''Le Penseur''' est une sculpture en bronze coulée en 1880 et reproduite à d’innombrables exemplaires dans les tailles et matériaux les plus variées. Son auteur, Auguste Rodin, s’est inspiré du poète ou du philosophe de la Divine Comédie de Dante Alighieri contemplant la foule des damnés du haut de la porte de l’Enfer gravée de l'inscription « ''Abandonnez toute espérance, vous qui entrez ici'' ».

Version du 12 mars 2024 à 20:38

et pour que l’un.e ou l’autre passionné.e de la Centrale For Contemporary Art

y éprouve un choc électro-esthétique apparenté au koan des moines zen



- La chaise électrique est un instrument d'application de la peine capitale par électrocution utilisé aux États-Unis. Elle a été mise au point à la fin des années 1880 par un électricien et un dentiste comme alternative supposée moins cruelle et plus rapide que la pendaison. Depuis son invention, 4.441 personnes (dont 27 femmes et au moins 57 mineurs) ont été exécutées avec cette méthode. Aujourd’hui, elle n’est maintenue que comme alternative à l’injection létale au prisonnier le souhaitant.

- Commutateurs rotatifs réglant les durée et intensité de la décharge électro-esthétique envoyée, via la lunette du WC plaqué d’or supraconducteur, aux fesses de la personne qui s’y repose après avoir baisé son froc ou relevé sa robe. Le choc perçu peut se comparer à ceux donnés, sur ordre du psychologue Stanley Milgram en 1963, par certains "instructeurs" acceptant de soumettre à des tensions de 450 volts leurs "élèves fautifs", sauf qu’ici l’électro-esthétiseur.se et l’électro-esthétisé.e sont une seule et même personne. Et que la sensation éprouvée serait révélatrice en tant que négatif de l’orgasme amoureux, du ravissement esthétique ou de l’extase mystique.

- Le Penseur est une sculpture en bronze coulée en 1880 et reproduite à d’innombrables exemplaires dans les tailles et matériaux les plus variées. Son auteur, Auguste Rodin, s’est inspiré du poète ou du philosophe de la Divine Comédie de Dante Alighieri contemplant la foule des damnés du haut de la porte de l’Enfer gravée de l'inscription « Abandonnez toute espérance, vous qui entrez ici ».

- Lieu d’aisance mis à la disposition des visiteur.se.s de la Centrale for Contemporay Art le temps de s’y déculotter, poser ses fesses nues sur la toilette puis se soulager. Temps par ailleurs propice pour qu’iel fixe le voltage et la durée de la décharge électro-esthétique qu’iel provoquera en tirant la chasse d’eau provoquant le passage du courant alternatif de la lunette du WC plaquée d’or supraconducteur à ses fesses.

- Un trône est un tabouret, une chaise ou un fauteuil sur lequel un.e i.empereur.atrice ou un.e rei.oi.ne ou un.e pape.sse ou … dépose son postérieur. Mon préféré, ourlé de velours rouge et auréolé de guirlandes dorées, se découvrait dans le restaurant liégeois "Le chameau qui dit des bêtises". Qui en jouissait pouvait s’y coiffer d’une couronne puis s’admirer dans le miroir recouvrant l’intérieur de la porte.

- Sigle apposé sur la porte d’une des toilettes de la Centrale for Contemporary Art signalant son accessibilité à quiconque, quel que soit son sexe, son genre, son goût et sa couleur, notamment les LGBTQIA+ et leurs variantes.

- William Francis Kemmler est le premier condamné à mort exécuté sur une chaise électrique en 1890 dans l’État de New York. Il reçut une 1ère décharge pendant 17 secondes, ce qui ne suffit pas à le tuer. Le technicien prit alors le temps de recharger le générateur jusqu’à 2.000 volts. Après la 2ème décharge, Kemmler respirait encore. La 3ème décharge dura une bonne minute. Les résultats furent dantesques : les yeux se désorbitèrent, les cheveux s’enflammèrent, la chair se carbonisa et les intestins du condamné se vidèrent.

d'autres sources d'extase?