« Au sujet des oeuvres de Renée Demeester » : différence entre les versions

De Paul Gonze
Aller à la navigation Aller à la recherche
Contenu ajouté Contenu supprimé
(Page créée avec « '''du côté de quelques oeuvres de''' <u>Renée_Demeester</u>   ''Car la Femme, ou était-ce Dieu, imagine et donc crée      &... »)
 
Aucun résumé des modifications
Ligne 1 : Ligne 1 :
<p style="text-align: center">'''du côté de quelques oeuvres de'''</p> <p style="text-align: center"><u>[[Renée_Demeester|Renée_Demeester]]</u></p>

'''du côté de quelques oeuvres de'''

<u>[[Renée_Demeester]]</u>

&nbsp;
&nbsp;



Version du 6 septembre 2018 à 12:09

du côté de quelques oeuvres de

Renée_Demeester

 

Car la Femme, ou était-ce Dieu, imagine et donc crée            l’Univers. Patiemment…

 

Les œuvres récentes de Renée Demeester : une cinquantaine de peintures et de dessins : quelques moments d’émotions, quelques éléments de réflexion, quelques instantanés de songes ; un dialecte ésotérique, inconnu, inutile – ou oublié ; car peut-être aussi un monde qui s’enfante, qui nous recrée et toujours à découvrir – caravane – avec pour toute carte venue d’ailleurs, ces tableaux très anciens, tableaux d’explorateur.

Tableaux-Labyrinthes d’horizons qui se chevauchent, se recoupent et s’entremêlent, de plaines, d’océans et de précipices en escalade puis évanouis, de brume, de mirages, de reflets sombrant aux fond des eaux, aux fonds du ciel et où l’autre soleil se lèvera enfin…

Tableaux-Pendules des temps quand, entre l’autel aux astres éclipsés et les observatoires des présages en voie lactée, rayonnaient, interfèrent et se fusionneront les étés d’Andromède, les aurores crépusculaires, l’espérance d’un même passé…

Tableaux-Miroirs d’espaces qui ne nous possèdent pas encore mais où déjà s’impatientent, - silence : le masque africain, - errance : les chênes de Flandres, - mémoire : le forgeron brûlé

Et la nuit désormais rouge : de rêves donc de sang.

 

« Non pas bleu-ciel, jaune-ciel » vous murmure la jeune fille.