« Histoire de l'Art » : différence entre les versions

De Paul Gonze
Aller à la navigation Aller à la recherche
Contenu ajouté Contenu supprimé
(Nouvelle page : Il faudra la réécrire un jour car, comme l'histoire de Belgique, c'est une belle légende. On ne se souvient que de ce que qui plait, on gomme ce qui dérange... on brûle ou...)
 
Aucun résumé des modifications
Ligne 1 : Ligne 1 :
Il faudra la réécrire un jour car, comme l'histoire de Belgique, c'est une belle légende.
Il faudra la réécrire un jour car, comme l'histoire de Belgique, c'est une belle légende.


On ne se souvient que de ce que qui plait, on gomme ce qui dérange... on brûle ou on envoie au pilon les feuilles de choux réfractaires... 
On ne se souvient que de ce que qui s'accorde au goût du jour et de ceux qui le circonscrivent, on gomme ce qui dérange ou choque...&nbsp;on brûle ou on envoie au pilon les feuilles de choux réfractaires... Big Brother n'a rien inventé.<br>


On écrème les évènements, on recoupe les références, on se cite et se recite mutuellement...&nbsp;et tout au long de l'autoroute de l'information, c'est toujours les mêmes marques d'essence, les mêmes motels, les mêmes / on a raison puisque l'on dit la mêlm chose que ce qui a été dit.


Ainsi, dans l'ouvrage de Karl Geirlandt,directeur du Palais des Beaux-Arts, sur l'Art belge des années 40 à 80,

<br>


à continuer
à continuer

Version du 22 mai 2009 à 17:33

Il faudra la réécrire un jour car, comme l'histoire de Belgique, c'est une belle légende.

On ne se souvient que de ce que qui s'accorde au goût du jour et de ceux qui le circonscrivent, on gomme ce qui dérange ou choque... on brûle ou on envoie au pilon les feuilles de choux réfractaires... Big Brother n'a rien inventé.

On écrème les évènements, on recoupe les références, on se cite et se recite mutuellement... et tout au long de l'autoroute de l'information, c'est toujours les mêmes marques d'essence, les mêmes motels, les mêmes / on a raison puisque l'on dit la mêlm chose que ce qui a été dit.

Ainsi, dans l'ouvrage de Karl Geirlandt,directeur du Palais des Beaux-Arts, sur l'Art belge des années 40 à 80,


à continuer