« Histoire de l'Art » : différence entre les versions
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On ne se souvient que de ce qui s'accorde au goût du jour et de ceux qui le circonscrivent; on gomme ce qui dérange ou choque... on brûle ou on envoie au pilon les feuilles de choux réfractaires... Big Brother n'a rien inventé.<br> |
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On écrème les évènements, on recoupe les références, on se cite et se recite mutuellement... et tout au long de l'autoroute de l'information, c'est toujours les mêmes marques d'essence, les mêmes motels, les mêmes |
On écrème les évènements, on recoupe les références, on se cite et se recite mutuellement... et tout au long de l'autoroute de l'information, c'est toujours les mêmes marques d'essence, les mêmes motels, les mêmes accidents... on a raison puisque l'on dit la même chose que ce qui a été dit. |
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Ainsi, dans l'ouvrage de Karl Geirlandt,directeur du Palais des Beaux-Arts, sur l'Art belge des années 40 à 80, |
Ainsi, dans l'ouvrage de Karl Geirlandt,directeur du Palais des Beaux-Arts, sur l'Art belge des années 40 à 80, toute l'aventure du Mass Moving se racornit dans un petit paragraphe. |
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Version du 12 juillet 2009 à 11:09
Il faudra (essayer de) la réécrire un jour car, comme l'histoire de Belgique, c'est une belle légende.
On ne se souvient que de ce qui s'accorde au goût du jour et de ceux qui le circonscrivent; on gomme ce qui dérange ou choque... on brûle ou on envoie au pilon les feuilles de choux réfractaires... Big Brother n'a rien inventé.
On écrème les évènements, on recoupe les références, on se cite et se recite mutuellement... et tout au long de l'autoroute de l'information, c'est toujours les mêmes marques d'essence, les mêmes motels, les mêmes accidents... on a raison puisque l'on dit la même chose que ce qui a été dit.
Ainsi, dans l'ouvrage de Karl Geirlandt,directeur du Palais des Beaux-Arts, sur l'Art belge des années 40 à 80, toute l'aventure du Mass Moving se racornit dans un petit paragraphe.
à continuer