« La Faucille » : différence entre les versions
Aller à la navigation
Aller à la recherche
Contenu ajouté Contenu supprimé
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
<p style="text-align: center">[[Un_morpho_rose|<u>'''<<<'''</u>]] <u>'''[[Never_say_never|O]]'''</u> [[La_faucille.jpg|<u>'''>>>'''</u>]]</p> |
|||
[[File:La faucille.jpg|center|700x700px|La faucille.jpg]] |
[[File:La faucille.jpg|center|700x700px|La faucille.jpg]] |
||
<p style="text-align: justify">- Mais y a pas de marteau!</p> <p style="text-align: justify">- Non, cette branche de corail customisée en collier ras-de-cou n'évoque pas la Révolution d'Octobre mais les deux derniers quadrains du poème "Booz endormi" de Victor Hugo:</p> <p style="text-align: center">''Tout reposait dans Ur et dans Jérimadeth ;<br/> Les astres émaillaient le ciel profond et sombre ;<br/> Le croissant fin et clair parmi ces fleurs de l'ombre<br/> Brillait à l'occident, et Ruth se demandait,<br/> <br/> Immobile, ouvrant l’œil à moitié sous ses voiles,<br/> Quel dieu, quel moissonneur de l'éternel été,<br/> Avait, en s'en allant, négligemment jeté<br/> Cette faucille d'or dans le champ des étoiles''</p> |
<p style="text-align: justify">- Mais y a pas de marteau!</p> <p style="text-align: justify">- Non, cette branche de corail customisée en collier ras-de-cou n'évoque pas la Révolution d'Octobre mais les deux derniers quadrains du poème "Booz endormi" de Victor Hugo:</p> <p style="text-align: center">''Tout reposait dans Ur et dans Jérimadeth ;<br/> Les astres émaillaient le ciel profond et sombre ;<br/> Le croissant fin et clair parmi ces fleurs de l'ombre<br/> Brillait à l'occident, et Ruth se demandait,<br/> <br/> Immobile, ouvrant l’œil à moitié sous ses voiles,<br/> Quel dieu, quel moissonneur de l'éternel été,<br/> Avait, en s'en allant, négligemment jeté<br/> Cette faucille d'or dans le champ des étoiles''</p> |
Version du 11 avril 2020 à 13:06
- Mais y a pas de marteau!
- Non, cette branche de corail customisée en collier ras-de-cou n'évoque pas la Révolution d'Octobre mais les deux derniers quadrains du poème "Booz endormi" de Victor Hugo:
Tout reposait dans Ur et dans Jérimadeth ;
Les astres émaillaient le ciel profond et sombre ;
Le croissant fin et clair parmi ces fleurs de l'ombre
Brillait à l'occident, et Ruth se demandait,
Immobile, ouvrant l’œil à moitié sous ses voiles,
Quel dieu, quel moissonneur de l'éternel été,
Avait, en s'en allant, négligemment jeté
Cette faucille d'or dans le champ des étoiles