« Le cadran solaire inversé » : différence entre les versions

De Paul Gonze
Aller à la navigation Aller à la recherche
Contenu ajouté Contenu supprimé
(Page créée avec « Le cadran solaire classique donne l'heure en projetant l'ombre de son stylet sur un faisceau de rayons gravés dans la pierre.<br> Et si on en inversait le principe, si on r… »)
 
Aucun résumé des modifications
Ligne 1 : Ligne 1 :
Le cadran solaire classique donne l'heure en projetant l'ombre de son stylet sur un faisceau de rayons gravés dans la pierre.<br>
Le cadran solaire classique donne l'heure en projetant l'ombre de son stylet sur un faisceau de lignes rayonnant depuis sur base qui sont gravées dans une pierre placée verticalement.<br>


Et si on en inversait le principe, si on remplaçait l'ombre par la lumière?&nbsp;<br>
Et si on en inversait le principe ? Si on remplaçait l'ombre par la lumière?&nbsp;<br>


En fixant, au sommet d'un mur ou d'un mat, un miroir orienté vers le sud et en observant le lieu ou la tache de lumière reflètée se projettera... à même le sol, ou sur quelques murs exposés au nord sur lequel deux réseaux de lignes auront été dessinés.&nbsp;D'une part six paraboles inversant la hauteur du soleil pour les mois de juin-juillet, mai-août, avril-septembre, mars-octobre, février-novembre et janvier-décembre. D'autre part, une dizaine de rayonnantes décomposant le cours de la journée entre le lever et le coucher du soleil.&nbsp;La position de la tache de lumière voyageant dans ce quadrillage d'ouest en est contrairement au soleil,&nbsp; donnera dès lors l'heure mais aussi la période de l'année.
Si on fixait, au sommet d'un mur ou d'un mat, un miroir orienté vers le sud? Si, en observant le lieu ou la tache de lumière reflétée se projette... à même le sol, ou sur quelques murs exposés au nord, on dessinait deux réseaux de lignes le premier formé de six paraboles inversant la course plus ou moins haute du soleil durant des mois de juin-juillet, de mai-août, d'avril-septembre, de mars-octobre, de février-novembre et de janvier-décembre; le second constitué d'une dizaine de rayonnantes décomposant le cours de la journée entre le lever et le coucher du soleil?
Alors, la position de la tache de lumière voyageant dans ce quadrillage d'ouest en est contrairement au soleil, donnera l'heure mais aussi le mois voir le jour... où l'on est en train de projeter son ombre derrière soi.

Version du 7 mai 2010 à 09:51

Le cadran solaire classique donne l'heure en projetant l'ombre de son stylet sur un faisceau de lignes rayonnant depuis sur base qui sont gravées dans une pierre placée verticalement.

Et si on en inversait le principe ? Si on remplaçait l'ombre par la lumière? 

Si on fixait, au sommet d'un mur ou d'un mat, un miroir orienté vers le sud? Si, en observant le lieu ou la tache de lumière reflétée se projette... à même le sol, ou sur quelques murs exposés au nord, on dessinait deux réseaux de lignes le premier formé de six paraboles inversant la course plus ou moins haute du soleil durant des mois de juin-juillet, de mai-août, d'avril-septembre, de mars-octobre, de février-novembre et de janvier-décembre; le second constitué d'une dizaine de rayonnantes décomposant le cours de la journée entre le lever et le coucher du soleil? Alors, la position de la tache de lumière voyageant dans ce quadrillage d'ouest en est contrairement au soleil, donnera l'heure mais aussi le mois voir le jour... où l'on est en train de projeter son ombre derrière soi.