« Nostalgies géologiques » : différence entre les versions

De Paul Gonze
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Me promenant le long de la Bloemekesplage au début du mois de mai 2023, je suis tombé en arrêt devant une inscription gravée au laser sur un des pavés du trottoir du Quai à la Chaux, à hauteur du N°1:
Me promenant le long de la Bloemekesplage au début du mois de mai 2023, je suis tombée en arrêt devant une inscription gravée au laser sur un des pavés du trottoir du Quai à la Chaux, à hauteur du N°1, qui a laissé rêveuse le géologue que [[Aurore d'Utopie, anartiste papowète|'''<u>j'ai été</u>''']]:


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Si rêveuse que, trois jours plus tard, j'y ai répondu en martelant de manière enfantine (comme au sortir du berceau ?) un des pavés du trottoir du [[Quelques petits détails sur la Petite Chose|'''<u>16 de la rue du Béguinage</u>''']]...

Trois jours plus tard, j'y ai répondu en martelant de manière plus enfantine (comme au sortir du berceau ?) un des pavés du trottoir du [[Quelques petits détails sur la Petite Chose|'''<u>16 de la rue du Béguinage</u>''']]...
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en me remémorant ces quelques vers du [[Le bateau ivre|'''<u>Bateau Ivre</u>''']]:
en me remémorant ces quelques vers du [[Le bateau ivre|'''<u>Bateau Ivre</u>''']]:


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<p style="text-align: center"><small>Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les aubes sont navrantes.</small>
''<small>Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.</small>''
<p style="text-align: center"><small>Toute lune est atroce et tout soleil amer :</small>
<p style="text-align: center"><small>L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.</small>

<p style="text-align: center"><small>Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer</small><small>.</small>
''<small>Toute lune est atroce et tout soleil amer :</small>''
<p style="text-align: center"><small><br />Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache</small>

''<small>L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.</small>''
<p style="text-align: center"><small>Noire et froide vers le crépuscule embaumé</small>
<p style="text-align: center"><small>Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche</small>

<p style="text-align: center"><small>Un bateau frêle comme un papillon de mai.</small>
''<small>Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !</small>''
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<small><br />
<p style="text-align: justify">''Mais vous: désirant.e de critiquer d'autres''
''Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache''</small>
<p style="text-align: center">[[Never say never|'''<u>''kinedurkunmoman ?''</u>''']]

''<small>Noire et froide où vers le crépuscule embaumé</small>''

''<small>Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche</small>''

''<small>Un bateau frêle comme un papillon de mai.</small>''

&nbsp;&nbsp;
<p style="text-align: center">impatient de critiquer d'autre

'''<u>[[Never say never|kindurkunmoman]]</u>'''

Dernière version du 9 mai 2023 à 15:35

Me promenant le long de la Bloemekesplage au début du mois de mai 2023, je suis tombée en arrêt devant une inscription gravée au laser sur un des pavés du trottoir du Quai à la Chaux, à hauteur du N°1, qui a laissé rêveuse le géologue que j'ai été:


Si rêveuse que, trois jours plus tard, j'y ai répondu en martelant de manière enfantine (comme au sortir du berceau ?) un des pavés du trottoir du 16 de la rue du Béguinage...


en me remémorant ces quelques vers du Bateau Ivre:

Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les aubes sont navrantes.

Toute lune est atroce et tout soleil amer :

L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.

Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer.


Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache

Noire et froide où vers le crépuscule embaumé

Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche

Un bateau frêle comme un papillon de mai.

 

Mais vous: désirant.e de critiquer d'autres

kinedurkunmoman ?