« Pour déshabiller la vérité » : différence entre les versions

De Paul Gonze
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'''''KG''' : Comment ne pas voir dans l'exposition "Hahaha" un éloge subtil du beau et de leurs ambassadrices ? Les femmes sont affichées ici telles des muses éthérées, des mannequins séduisants parce que silencieux et, dieu merci, pas comme vos égales, voire vos maitresses. Femmes qui, exceptionnellement, s’y activent comme artistes. Dans presque le même nombre d’or qu’au sein du conseil d’administration d’ING !''

'''AD''' : Vous aussi avez donc été heureuse qu’en cette période dindonnante de gloussements #Mee Too, la curatrice ait accroché aux cimaises quatre macarons géants de Thurnauer féminisant qautre hommes et n’hominisant aucune femme, inversant l’opposition-complémentarité des sexes pour mieux la renforcer. Délaissant les transgenres, les bisexuels, les asexués … alors que la Joconde devait avoir de bonnes raisons de se raser et Marcel Duchamp de se déguiser en Rosse Sélavy. D’où l’ajout tendancieux d’un coussin rose cuisse de nymphe émue brodé en violet cardinalice du nom de Madame ou Monsieur Claude Monet ?

'''KG''' : Plus symptomatique encore, nulle part n’y est fait mention d’Elsa Freytag von Loring-Hoven, la baronne Dada qui avait plus que le feu aux fesses et dont Duchamp a rasé le triangle pubien sous l’œil anémic de Man Ray… or il s’avère que c’est elle qui a réalisé les premiers et, pour quelques illuminés, les plus sensibles ready-made.

AD : Ces idiots vont jusqu’à suggérer que cette sotte aurait donné le jour à l’urinoir médiatisée en couverture de l’exposition "Hahaha" et que ce n’est qu’après son suicide que le marchand de sel s’en serait attribué la paternité. Rapt - ou bonne blague – qui se doit d’être occulté : le messie de l’art conceptuel ne peut être un faux prophète et sa divine Fontaine la machine à bulles des marchands du temple ! KG : D’autant qu’y voir une œuvre féministe auréole le Bouddha de la salle de bain d’une artificielle humanité, la signature « R.Mutt » n’ayant rien à voir avec un hypothétique marchand de porcelaine Mott mais évoquant Muther, la mère d’Elsa, morte d’une honteuse maladie des voies urinaires transmise par son mari syphilitique.

'''AD''' : Raison pour laquelle les Sinistres Pitres prévoyaient de déposer dans l’urinoir, s’il n’avait pas été chapeauté de plexiglas, non pas un étron - trop facile - mais un enregistreur diffusant soupirs, râles et cris d’orgasme aussi théâtralisés qu’ils le sont au cinéma. L’une entre ielles, mezzo-soprano, se contentera de les chanter a capella.

 

Version du 1 janvier 2022 à 12:26

Participation de Xavier Rijs, artiste entre la terre et les étoiles, à l'opération commando "C'était pour Rire" exécutée le lendemain de la Fête des Saints Innocents dans l'ING Art Center, consistant en la correction désintéressée du cartel explicatif de "Fontaine" ou "Robinet", de la baronne Elsa Freytag von Loring-Hoven dont Marcel Duchamp à volé la maternité:

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KG : Comment ne pas voir dans l'exposition "Hahaha" un éloge subtil du beau et de leurs ambassadrices ? Les femmes sont affichées ici telles des muses éthérées, des mannequins séduisants parce que silencieux et, dieu merci, pas comme vos égales, voire vos maitresses. Femmes qui, exceptionnellement, s’y activent comme artistes. Dans presque le même nombre d’or qu’au sein du conseil d’administration d’ING !

AD : Vous aussi avez donc été heureuse qu’en cette période dindonnante de gloussements #Mee Too, la curatrice ait accroché aux cimaises quatre macarons géants de Thurnauer féminisant qautre hommes et n’hominisant aucune femme, inversant l’opposition-complémentarité des sexes pour mieux la renforcer. Délaissant les transgenres, les bisexuels, les asexués … alors que la Joconde devait avoir de bonnes raisons de se raser et Marcel Duchamp de se déguiser en Rosse Sélavy. D’où l’ajout tendancieux d’un coussin rose cuisse de nymphe émue brodé en violet cardinalice du nom de Madame ou Monsieur Claude Monet ?

KG : Plus symptomatique encore, nulle part n’y est fait mention d’Elsa Freytag von Loring-Hoven, la baronne Dada qui avait plus que le feu aux fesses et dont Duchamp a rasé le triangle pubien sous l’œil anémic de Man Ray… or il s’avère que c’est elle qui a réalisé les premiers et, pour quelques illuminés, les plus sensibles ready-made.

AD : Ces idiots vont jusqu’à suggérer que cette sotte aurait donné le jour à l’urinoir médiatisée en couverture de l’exposition "Hahaha" et que ce n’est qu’après son suicide que le marchand de sel s’en serait attribué la paternité. Rapt - ou bonne blague – qui se doit d’être occulté : le messie de l’art conceptuel ne peut être un faux prophète et sa divine Fontaine la machine à bulles des marchands du temple ! KG : D’autant qu’y voir une œuvre féministe auréole le Bouddha de la salle de bain d’une artificielle humanité, la signature « R.Mutt » n’ayant rien à voir avec un hypothétique marchand de porcelaine Mott mais évoquant Muther, la mère d’Elsa, morte d’une honteuse maladie des voies urinaires transmise par son mari syphilitique.

AD : Raison pour laquelle les Sinistres Pitres prévoyaient de déposer dans l’urinoir, s’il n’avait pas été chapeauté de plexiglas, non pas un étron - trop facile - mais un enregistreur diffusant soupirs, râles et cris d’orgasme aussi théâtralisés qu’ils le sont au cinéma. L’une entre ielles, mezzo-soprano, se contentera de les chanter a capella.