Pralin(e)s pour Valenti(e)s
D'accord, cette fête, mi-rose bonbon mi-rouge passion, se joue d'année en année comme une énième recette dégoulinante de la société de l'obsolescence pour relancer la consommation bisous-nounours des bleus-à-l'âme.
Il n’empêche: ce petit ballotin de douceurs pourrait taper dans l’œil (ou l'estomac) d'un chocolatier au point d'en assumer la production en grande série.
Son principe: deux boitiers en forme de cœur, montés tête bêche, l'une contenant une orangette et deux manons (ou deux "Mon Chéri") sur un lit de pétales de violettes confites dans le sucre, l'autre offrant une buche de massepain partiellement enrobée de chocolat noir de noir dont la base est soutenue par deux truffes au champagne (ou deux "Ferrero Rocher") au milieu d'un tas de cacahuètes.
car l'amour toujours est aussi sucré que la mer est salée
Précision tactique : Le pralin, pâte chocolatée enrichie en éclats d'amandes ou de noisettes caramélisées, est à la base du praliné qui entre dans la composition de la plupart des pralines. Il aurait été inventé par le cuisinier du duc de Praslin. A-t-il été aimé, ce duc, pour autre chose?