« Truffes au Champagne » : différence entre les versions
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<p style="text-align: justify">Réchauffez |
<p style="text-align: justify">Réchauffez cinquante trois grammes de vrai beurre de ferme, légèrement salé, avec dix-huit virgule sept centilitres de crême fraîche, vingt-six grammes de sucre critallisé et deux cuillèrées d'eau de rose;</p> <p style="text-align: justify">Hachez menu cinq barres de chocolat noir de noir puis jetez-en les copeaux pour qu'ils fondent et s'amalgament à votre crèmeuse</p> <p style="text-align: justify">Parfumez avec onze centilitres de Fine Napoléon, à la rigueur de Talisker, ou encore de Slibovitch, voire même, j'allais l'oublier, de Don Pérignon!</p> <p style="text-align: justify">Homogénéisez le tout sans y incorporer d'autres bulles que celles du champagne (si, avec riaons, vous avez opter pour cet additif) puis confiez au réfrigérateur pour une longue nuit;</p> <p style="text-align: justify">Le lendemain, faites avec votre pâtée quelques douzaines de boulettes que vous enfarinerez de sucre glace puis que vous chambrerez dans son attente</p> <p style="text-align: justify">Quand votre douce et tendre se présentera, proposez-lui une coupe de champagne (je suppose qu'il en restera, d'autant qu'elle n'aime pas le whisky) puis parlez-lui de la pluie et du beau temps, de politique et d'économie, de Caroline et de Capucine jusqu'à ce que, alertée par quelque troublant arôme, elle erre dans votre garconnière à la recherche de la source du mystère. Jouez alors avec elle à froid, très froid, glacial puis tiède, chaud, très chaud, brûlant quand elle touchera au but, soulèvera votre oreiller et ne pourra que se mettre à baver... Permettez-lui alors de vous redire, la bouche déjà pleine, qu'elle vous adore!</p> |
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Mais vous rêviez peut-être... |
Mais vous rêviez peut-être... |
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Version du 28 août 2018 à 15:45
Réchauffez cinquante trois grammes de vrai beurre de ferme, légèrement salé, avec dix-huit virgule sept centilitres de crême fraîche, vingt-six grammes de sucre critallisé et deux cuillèrées d'eau de rose;
Hachez menu cinq barres de chocolat noir de noir puis jetez-en les copeaux pour qu'ils fondent et s'amalgament à votre crèmeuse
Parfumez avec onze centilitres de Fine Napoléon, à la rigueur de Talisker, ou encore de Slibovitch, voire même, j'allais l'oublier, de Don Pérignon!
Homogénéisez le tout sans y incorporer d'autres bulles que celles du champagne (si, avec riaons, vous avez opter pour cet additif) puis confiez au réfrigérateur pour une longue nuit;
Le lendemain, faites avec votre pâtée quelques douzaines de boulettes que vous enfarinerez de sucre glace puis que vous chambrerez dans son attente
Quand votre douce et tendre se présentera, proposez-lui une coupe de champagne (je suppose qu'il en restera, d'autant qu'elle n'aime pas le whisky) puis parlez-lui de la pluie et du beau temps, de politique et d'économie, de Caroline et de Capucine jusqu'à ce que, alertée par quelque troublant arôme, elle erre dans votre garconnière à la recherche de la source du mystère. Jouez alors avec elle à froid, très froid, glacial puis tiède, chaud, très chaud, brûlant quand elle touchera au but, soulèvera votre oreiller et ne pourra que se mettre à baver... Permettez-lui alors de vous redire, la bouche déjà pleine, qu'elle vous adore!
Mais vous rêviez peut-être...