« UNE RÊVÉE POUR 12 RÊVEURS » : différence entre les versions
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En prévision de l’hiver, ils sont habillés à la manière des SDF, sans-papiers, chômeurs, enfants du juge, détenus porteurs de bracelet électronique, pensionnés bénéficiant du revenu minimum garanti et autres intermittents du spectacle dans la société de consommation…<br><br> |
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⚫ | <p style="text-align: justify">Onze épouvantails cherchent à garder l’équilibre au-dessus des douze poubelles qui ornent, à côté du [[RÊVES_DE_VOYANCE_OU_DE_CÉCITÉ|Prince des Lumières]] et de l’Enfant Roi, le joli petit parc d’Egmont, écrin de verdure et lieu de retraite propice à la méditation et à la rêverie à l’abri du tohu-bohu citadin.</p> <p style="text-align: justify">En prévision de l’hiver, ils sont habillés à la manière des SDF, sans-papiers, chômeurs, enfants du juge, détenus porteurs de bracelet électronique, pensionnés bénéficiant du revenu minimum garanti et autres intermittents du spectacle dans la société de consommation…<br/> </p> |
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Foyer des regards de ces douze "rêveurs" sans visage, une belle en bikini léopard et escarpins à talons aiguille écarlates valse lentement sur elle-même au-dessus du socle de pierre qui, au foyer de l’exèdre, semblait n’attendre que son apparition. Mais La Rêvée, à l’abri de lunettes de soleil hollywoodiennes, ne voit ni n’entend rien : pour elle, c’est encore, ce sera toujours l’été.< |
<p style="text-align: justify">Foyer des regards de ces douze "rêveurs" sans visage, une belle en bikini léopard et escarpins à talons aiguille écarlates valse lentement sur elle-même au-dessus du socle de pierre qui, au foyer de l’exèdre, semblait n’attendre que son apparition. Mais La Rêvée, à l’abri de lunettes de soleil hollywoodiennes, ne voit ni n’entend rien : pour elle, c’est encore, ce sera toujours l’été.</p> |
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⚫ | <p style="text-align: justify"><u>[[Media:Une_Rêvée_pour_12_rêveurs.pdf|'''AVANT-PROJET''']]</u> d’œuvre d’art éphémère (octobre-novembre 2012) élaboré par Unalala Bwana dans le cadre du concours PAUSE PUBLIQUE lancé par l’ISELP pour le parc d’Egmond à Bruxelles en concurence avec <u>'''[[POUR_RÊVER_LES_YEUX_OUVERTS_OU_FERMÉS|une proposition d'Aurore d'Utopie & Krépuscula Kochmarsky]]'''</u> ainsi qu' <u>[[L'AUTRE_RÊVE|'''une proposition de Léon Zoetebier & Franz Coquido'''r]]</u>.</p> |
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Dernière version du 4 novembre 2020 à 17:39
L’habit fait le moine.
Dicton populaire
Onze épouvantails cherchent à garder l’équilibre au-dessus des douze poubelles qui ornent, à côté du Prince des Lumières et de l’Enfant Roi, le joli petit parc d’Egmont, écrin de verdure et lieu de retraite propice à la méditation et à la rêverie à l’abri du tohu-bohu citadin.
En prévision de l’hiver, ils sont habillés à la manière des SDF, sans-papiers, chômeurs, enfants du juge, détenus porteurs de bracelet électronique, pensionnés bénéficiant du revenu minimum garanti et autres intermittents du spectacle dans la société de consommation…
Foyer des regards de ces douze "rêveurs" sans visage, une belle en bikini léopard et escarpins à talons aiguille écarlates valse lentement sur elle-même au-dessus du socle de pierre qui, au foyer de l’exèdre, semblait n’attendre que son apparition. Mais La Rêvée, à l’abri de lunettes de soleil hollywoodiennes, ne voit ni n’entend rien : pour elle, c’est encore, ce sera toujours l’été.
AVANT-PROJET d’œuvre d’art éphémère (octobre-novembre 2012) élaboré par Unalala Bwana dans le cadre du concours PAUSE PUBLIQUE lancé par l’ISELP pour le parc d’Egmond à Bruxelles en concurence avec une proposition d'Aurore d'Utopie & Krépuscula Kochmarsky ainsi qu' une proposition de Léon Zoetebier & Franz Coquidor.