« 50 MINUTES POUR RÊVER 50 ANNÉES » : différence entre les versions
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<br> Unalala Bwana est intervenu en s'inspirant d'une phrase du poète Eugène Savitskaya: ''"Chaque jour, ma vie compte un jour de plus; Chaque jour, ma vie compte un jour de moins"''.<br> Se basant sur cette ambivalente contradiction, il a pris 50 photos de Mario Villagi à une minute d'intervalle puis en a imbriqué 49, de couleurs, au recto d'un losange de 50 cm de côté. <br> [[Image:Combiné Mario Villagi lozange recto p.jpg|center|700x700px|Combiné Mario Villagi lozange recto p.jpg]] <br> |
<br> Unalala Bwana est intervenu en s'inspirant d'une phrase du poète Eugène Savitskaya: ''"Chaque jour, ma vie compte un jour de plus; Chaque jour, ma vie compte un jour de moins"''.<br> Se basant sur cette ambivalente contradiction, il a pris 50 photos de Mario Villagi à une minute d'intervalle puis en a imbriqué 49, de couleurs, au recto d'un losange de 50 cm de côté. <br> [[Image:Combiné Mario Villagi lozange recto p.jpg|center|700x700px|Combiné Mario Villagi lozange recto p.jpg]] <br> |
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Au verso, il a collé la cinquantième photo noire et blanche au milieu d'un miroir et l'a bordée de la phrase altérée et inversée d'Eugène Savistkaya: ''"Ma vie compte - une heure de plus - une heure de moins - toutes les cinquante et quelques minutes"''. |
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Version du 6 février 2012 à 14:39
Pour ses 50 ans, l'artiste peintre Mario Villagi a invité une cinquantaine de confrères et consœurs à exposer avec lui à l'Espace Wallonie du centre de Bruxelles.
Unalala Bwana est intervenu en s'inspirant d'une phrase du poète Eugène Savitskaya: "Chaque jour, ma vie compte un jour de plus; Chaque jour, ma vie compte un jour de moins".
Se basant sur cette ambivalente contradiction, il a pris 50 photos de Mario Villagi à une minute d'intervalle puis en a imbriqué 49, de couleurs, au recto d'un losange de 50 cm de côté.
Au verso, il a collé la cinquantième photo noire et blanche au milieu d'un miroir et l'a bordée de la phrase altérée et inversée d'Eugène Savistkaya: "Ma vie compte - une heure de plus - une heure de moins - toutes les cinquante et quelques minutes".
Ce qui, dans cette petite intervention, plait en particulier à Unalala, c'est de voir toutes les œuvres de l'exposition se refléter dans le miroir tournoyant au centre de la salle d'exposition pour naître du visage de Mario puis disparaître.