666 et demain des poussieres...

De Paul Gonze
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On appelle l'hexakosioihexekontahexaphobie, la peur du nombre 666, ce chiffre prétendumment infernal qui permettrait de reconnaitre la bête immonde de l'apocalypse.

L'apôtre Jean, dans les versets 15 à 18 du chapitre 13 de son Apocalypse, (texte provenant de la traduction œcuménique de la Bible) l'explique clairement :

« Il lui fut donné d'animer l'image de la bête, de sorte qu'elle ait même la parole et fasse mettre à mort quiconque n'adorerait pas l'image de la bête. À tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, elle impose une marque sur la main droite ou sur le front. Et nul ne pourra acheter ou vendre, s'il ne porte la marque, le nom de la bête ou le chiffre de son nom. C'est le moment d'avoir du discernement : celui qui a de l'intelligence, qu'il interprète le chiffre de la bête, car c'est un chiffre d'homme : et son chiffre est six cent soixante-six. »

666, par opposition au chiffre 7 qui symbolise la perfection, incarnerait donc l'imperfection suprême.

Une preuve: les chiffres 666 ou 616, selon que l'on passe par l'hébreu, le grec ou le latin, sont liés aux mots « César-Néron », « César divinisé".Ou, transposé à notre époque, le dollar, l'euro ou l'étalon-or