« Quel bilan: ni tout ni rien? » : différence entre les versions

De Paul Gonze
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A titre personnel e tpeut-être aussi pour stimuler chez autrui la juste perception de la "Vanitas Vanitatum",  je voudrais chercher à faire le point sur l'activité onirique de TOUT, sur sa pertinence, sur ses retombées.
A titre personnel e tpeut-être aussi pour stimuler chez autrui la juste perception de la "Vanitas Vanitatum",  je voudrais chercher à faire le point sur l'activité onirique de TOUT, sur sa pertinence, sur ses retombées.


De prime abord, cette prétende exploration des terres d'Utopie se révèle être un échec. A part quelques
De prime abord, cette prétendue exploration des terres d'Utopie se révèle être un échec. A part quelques nostalgiques de plage sous les pavés, de bicane absurde ou un phare pharaonique, je n'ai plus ausune activité artstique



Quand je m'interroge sur les raions de cet "echec", je m'en trouve quelques unes:

1) Je ne uis pas vraiment un personnahe médiatique malgré la dimension de certains projets. Evidence qui est renforcée par le fait que je n'ai aucune mémore des physionomies et des noms et que donc, des personnes qui ont collaboré avec moi et me considèrent comme ami paraissent à mes yeux comme des étrangers. Quand ils me sourient, je leur sourient avec utant de plitesse que de gène? Et quand il évoque quelques haut-faits du passé, je me contente d'opiner du chef, me demandant "in petto" de quoi l'on parle. Ma mémoire aussi est une passoire.

2) Mes projets ne s'inscrivent pas dans la logique du système artistique contemporain. Au contraire, ilpas ou plutôt s'inscrive à contre-courant

Version du 19 septembre 2012 à 14:58

J'ai pris ma retraite il y a trois ans, assurer la dissolution de lasbl TOUT dans les mois qui viennent et passerai l'arme à gauche à brève ou très brève échéance.

A titre personnel e tpeut-être aussi pour stimuler chez autrui la juste perception de la "Vanitas Vanitatum",  je voudrais chercher à faire le point sur l'activité onirique de TOUT, sur sa pertinence, sur ses retombées.

De prime abord, cette prétendue exploration des terres d'Utopie se révèle être un échec. A part quelques nostalgiques de plage sous les pavés, de bicane absurde ou un phare pharaonique, je n'ai plus ausune activité artstique


Quand je m'interroge sur les raions de cet "echec", je m'en trouve quelques unes:

1) Je ne uis pas vraiment un personnahe médiatique malgré la dimension de certains projets. Evidence qui est renforcée par le fait que je n'ai aucune mémore des physionomies et des noms et que donc, des personnes qui ont collaboré avec moi et me considèrent comme ami paraissent à mes yeux comme des étrangers. Quand ils me sourient, je leur sourient avec utant de plitesse que de gène? Et quand il évoque quelques haut-faits du passé, je me contente d'opiner du chef, me demandant "in petto" de quoi l'on parle. Ma mémoire aussi est une passoire.

2) Mes projets ne s'inscrivent pas dans la logique du système artistique contemporain. Au contraire, ilpas ou plutôt s'inscrive à contre-courant