« Vendredi 2013-04-05 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
(5 versions intermédiaires par un autre utilisateur non affichées) | |||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
Et en cette grise et froide après-midi, j'en remets, fidèle à [[ |
<p style="text-align: justify">Et en cette grise et froide après-midi, j'en remets, fidèle à [[Les_bouteilles_à_la_mer_de_Vendredi|ma promesse]], une couche en préférant, plutôt qu'encore ratiociner sur [[Tentative_de_définition_du_mot_crise|la crise]] d'une planète et d'une société en voie d'ébullition, rêver d'un printemps qui ne s'entêterait pas à nous faire grelotter.</p> |
||
|
|||
⚫ | |||
<br> |
|||
|
|||
⚫ | |||
|
|||
⚫ | ''' MAGICIENNE OU SORCIÈRE''' |
||
⚫ | ([[Comme_une_creuse|perlée]] de grains de [[Quelques_citations_sur_la_Beauté|beauté]]) |
||
|
|||
⚫ | |||
⚫ | ''' MAGICIENNE OU SORCIÈRE''' |
||
⚫ | |||
⚫ | ([[ |
||
⚫ | |||
<br> |
|||
|
|||
D’un tour de poignet, |
|||
Sur sa peau de nuit blanche |
|||
Elle remonte le fleuve de ses cheveux |
|||
Des soleils noirs de première grandeur |
|||
Jusqu'à la source du temps. |
|||
Zodiaque ma Licorne. |
|||
<br> |
|||
|
|||
Sur sa peau de nuit blanche |
|||
D’autres tourbillons d'antimatière |
|||
Des soleils noirs de première grandeur |
|||
Naissent-ils aux fonds de ses pupilles |
|||
Zodiaque ma Licorne. |
|||
Quand ses yeux se ferment pour cercler l'horizon? |
|||
<br> |
|||
|
|||
D’autres tourbillons d'antimatière |
|||
Nouvelle lune de sa bouche, |
|||
Naissent-ils aux fonds de ses pupilles |
|||
Le néant goûte l’éther |
|||
Quand ses yeux se ferment et cerclent l'horizon? |
|||
⚫ | |||
<br> |
|||
|
|||
Nouvelle lune de sa bouche, |
|||
|
|||
Le néant goûte l’éther |
|||
⚫ | |||
⚫ | |||
- [[Eblouissements|Eblouissements]] |
|||
<br> |
|||
- [[Ou_à_Naples|ou à Naples]] |
|||
<br> |
|||
- [[En_souvenir_de_Léontine|En souvenir de Léontine]] |
|||
⚫ | |||
|
|||
⚫ | |||
⚫ | <p style="text-align: justify">et, comme poésimage, une fleur bien évidemment que j'ai informatiquement et informellement butinée en [[Le_zinnia_de_.A.I.A.|zinnia à la Modigliani]] mais que d'autres pourraient papillonner en rêvant aux tournesols de Van Gogh ou à la boule d'aigrettes de pissenlit, encore appelée "dent de lion", que Mademoiselle Larousse (Julie, je présume) sème à tout vent... de printemps?</p> |
||
[[File:Incantaia dahllia de Modigliani 03.jpg|center|800x700px|Incantaia dahllia de Modigliani 03.jpg]] |
|||
⚫ | |||
⚫ | |||
⚫ | |||
⚫ | |||
⚫ | |||
<br> |
|||
- rédiger, comme devoir de week-end, une rédaction dont le sujet serait cette citation adaptée de Cocteau: |
|||
⚫ | et, comme poésimage, une fleur bien évidemment que j'ai informatiquement et informellement butinée en zinnia à la Modigliani mais que d'autres pourraient papillonner en rêvant aux tournesols de Van Gogh ou à la boule d'aigrettes de pissenlit, encore appelée "dent de lion", que Mademoiselle Larousse (Julie, je présume) sème à tout vent... de printemps? |
||
[[Quelques_citations_sur_la_poésie|LA POESIE]] NE SERT Á RIEN: |
|||
<br> |
|||
c'est en cela qu'elle est indispensable. |
|||
⚫ | |||
⚫ | |||
⚫ | |||
- une citation (adaptée de Cocteau) comme sujet de rédaction pour le week-end: La poésie ne sert à rien et c'est en cela qu'elle est indispensable. |
Dernière version du 17 novembre 2020 à 18:20
Et en cette grise et froide après-midi, j'en remets, fidèle à ma promesse, une couche en préférant, plutôt qu'encore ratiociner sur la crise d'une planète et d'une société en voie d'ébullition, rêver d'un printemps qui ne s'entêterait pas à nous faire grelotter.
Et donc d'abord une naïveté d'un autre temps, pour un printemps d'une autre ère:
MAGICIENNE OU SORCIÈRE
D’un tour de poignet,
Elle remonte le fleuve de ses cheveux
Jusqu'à la source du temps.
Sur sa peau de nuit blanche
Des soleils noirs de première grandeur
Zodiaque ma Licorne.
D’autres tourbillons d'antimatière
Naissent-ils aux fonds de ses pupilles
Quand ses yeux se ferment pour cercler l'horizon?
Nouvelle lune de sa bouche,
Le néant goûte l’éther
Pour qui sait rougir d’infini la pâleur de ses joues.
et, pour qui a encore un peu de temps (sans prétendre le posséder), les liens vers trois autres papowésies d'une eau un peu plus trouble:
et, comme poésimage, une fleur bien évidemment que j'ai informatiquement et informellement butinée en zinnia à la Modigliani mais que d'autres pourraient papillonner en rêvant aux tournesols de Van Gogh ou à la boule d'aigrettes de pissenlit, encore appelée "dent de lion", que Mademoiselle Larousse (Julie, je présume) sème à tout vent... de printemps?
Et trois suggestions, sachant que le conseilleur n'est pas le payeur
- devenir, pour 20 €, coopérateur, comme moi, d'une banque qui pourrait donner un parfum de chèvre-feuille à l'argent.
- aller voir "Beasts of the southern wild" de Bent Zetlin avec Hushpuppy dont, en vieil anartiste, j'ai adoré les grimaces et les seins naissants .
- rédiger, comme devoir de week-end, une rédaction dont le sujet serait cette citation adaptée de Cocteau:
LA POESIE NE SERT Á RIEN:
c'est en cela qu'elle est indispensable.