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J'en remets, fidèle à ma promesse, une couche mais en préférant, plutôt qu'encore ratiociner sur la crise d'une planète et d'une société en voie d'ébullition, rêver d'un printemps qui ne s'entête pas à nous faire grelotter.
J'en remets, fidèle à [[Les_bouteilles_à_la_mer_de_Vendredi|ma promesse]], une couche mais en préférant, plutôt qu'encore ratiociner sur [[Tentative_de_définition_du_mot_crise|la crise]] d'une planète et d'une société en voie d'ébullition, rêver d'un printemps qui ne s'entête pas à nous faire grelotter.
Et donc d'abord une naïveté d'un autre temps, pour un printemps d'une autre ère:




MAGICIENNE OU SORCIÈRE


Et donc d'abord une naïveté d'un autre temps, pour un printemps d'une autre ère:
(perlée de grains de beauté)


<br>
D’un tour de poignet,


&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;'''&nbsp;&nbsp; MAGICIENNE OU SORCIÈRE'''
Elle remonte le fleuve de ses cheveux


&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; ([[Comme_une_creuse|perlée]] de grains de [[Quelques_citations_sur_la_Beauté|beauté]])
Jusqu'à la source du temps.


Sur sa peau de nuit blanche


Des soleils noirs de première grandeur


D’un tour de poignet,
Zodiaque ma Licorne.


Elle remonte le fleuve de ses cheveux
D’autres tourbillons d'antimatière


Jusqu'à la source du temps.
Naissent-ils aux confins de l’univers


Quand ses yeux se ferment ?


Nouvelle lune de sa bouche,


Sur sa peau de nuit blanche
Le néant goûte l’éther


Des soleils noirs de première grandeur
Pour qui sait rougir d’infini la pâleur de ses joues.


Zodiaque ma Licorne.
et, pour qui a encore un peu de temps (sans prétendre le posséder), les liens vers trois autres papowésies d'une eau un peu plus trouble:


- http://m3m.homelinux.org/wikiGG/index.php/Eblouissements


- http://m3m.homelinux.org/wikiGG/index.php/Ou_%C3%A0_Naples


D’autres tourbillons d'antimatière
- http://m3m.homelinux.org/wikiGG/index.php/En_souvenir_de_L%C3%A9ontine


Naissent-ils aux confins de l’univers
et, comme poésimage, une fleur bien évidemment que j'ai informatiquement et informellement butinée en zinnia à la Modigliani mais que d'autres pourraient papillonner en rêvant aux tournesols de Van Gogh ou à la boule d'aigrettes de pissenlit, encore appelée "dent de lion", que Mademoiselle Larousse (Julie, je présume) sème à tout vent... de printemps?


Quand ses yeux se ferment&nbsp;?
Images intégrées 1


Et trois suggestions, sachant que le conseilleur n'est pas le payeur


- devenir, pour 20 €, coopérateur, comme moi, d'une banque qui pourrait donner un parfum à l'argent.


Nouvelle lune de sa bouche,
- aller voir "Beasts of the southern wild" de Bent Zetlin avec Hushpuppy dont, en vieil anartiste, j'ai adoré.

Le néant goûte l’éther

Pour qui sait rougir d’infini la pâleur de ses joues.





et, pour qui a encore un peu de temps (sans prétendre le posséder), les liens vers trois autres papowésies d'une eau un peu plus trouble:

&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; - [[Eblouissements|Eblouissements]]

&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; - [[Ou_à_Naples|ou à Naples]]

&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; - [[En_souvenir_de_Léontine|En souvenir de Léontine]]



et, comme poésimage, une fleur bien évidemment que j'ai informatiquement et informellement butinée en zinnia à la Modigliani mais que d'autres pourraient papillonner en rêvant aux tournesols de Van Gogh ou à la boule d'aigrettes de pissenlit, encore appelée "dent de lion", que Mademoiselle Larousse (Julie, je présume) sème à tout vent... de printemps?

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Et trois suggestions, sachant que le conseilleur n'est pas le payeur

- devenir, pour 20 €, coopérateur, comme moi, d'une banque qui pourrait donner un parfum à l'argent.

- aller voir "Beasts of the southern wild" de Bent Zetlin avec Hushpuppy dont, en vieil anartiste, j'ai adoré.


- une citation (adaptée de Cocteau) comme sujet de rédaction pour le week-end: La poésie ne sert à rien et c'est en cela qu'elle est indispensable.
- une citation (adaptée de Cocteau) comme sujet de rédaction pour le week-end: La poésie ne sert à rien et c'est en cela qu'elle est indispensable.

Version du 5 avril 2013 à 13:59

J'en remets, fidèle à ma promesse, une couche mais en préférant, plutôt qu'encore ratiociner sur la crise d'une planète et d'une société en voie d'ébullition, rêver d'un printemps qui ne s'entête pas à nous faire grelotter.


Et donc d'abord une naïveté d'un autre temps, pour un printemps d'une autre ère:


                                                                   MAGICIENNE OU SORCIÈRE

                                                                    (perlée de grains de beauté)


D’un tour de poignet,

Elle remonte le fleuve de ses cheveux

Jusqu'à la source du temps.


Sur sa peau de nuit blanche

Des soleils noirs de première grandeur

Zodiaque ma Licorne.


D’autres tourbillons d'antimatière

Naissent-ils aux confins de l’univers

Quand ses yeux se ferment ?


Nouvelle lune de sa bouche,

Le néant goûte l’éther

Pour qui sait rougir d’infini la pâleur de ses joues.



et, pour qui a encore un peu de temps (sans prétendre le posséder), les liens vers trois autres papowésies d'une eau un peu plus trouble:

           - Eblouissements

           - ou à Naples

           - En souvenir de Léontine


et, comme poésimage, une fleur bien évidemment que j'ai informatiquement et informellement butinée en zinnia à la Modigliani mais que d'autres pourraient papillonner en rêvant aux tournesols de Van Gogh ou à la boule d'aigrettes de pissenlit, encore appelée "dent de lion", que Mademoiselle Larousse (Julie, je présume) sème à tout vent... de printemps?


Et trois suggestions, sachant que le conseilleur n'est pas le payeur

- devenir, pour 20 €, coopérateur, comme moi, d'une banque qui pourrait donner un parfum à l'argent.

- aller voir "Beasts of the southern wild" de Bent Zetlin avec Hushpuppy dont, en vieil anartiste, j'ai adoré.

- une citation (adaptée de Cocteau) comme sujet de rédaction pour le week-end: La poésie ne sert à rien et c'est en cela qu'elle est indispensable.